- Le Canis Club est un établissement agréé par le Gouvernement pour l’hébergement des chiens et détient l’agrément HK 406601057.
- Très important : nous habitons sur place, le chenil est à huit mètres de l’entrée de notre salon.
- Le personnel est exclusivement familial (quatre personnes - parents et fils - âgés de 23 à 63 ans).
- Nous existons depuis bien plus de trente ans.
- A la demande, nous exerçons la prise et/ou la remise à domicile partout sur le territoire sous conditions à lire dans la partie dédiée dans ce site.
- Nous acceptons tous les chiens (toutefois, se référer au chapitre qui concerne les femelles non opérées et à notre mise en garde).
- Le client repart avec un contrat numéroté et signé dont nous gardons une copie.
- Nous disposons de vingt loges.
- Nous pratiquons des tarifs réduits pour la garde de plus d’un mois, la longue durée est une pratique courante chez nous.
- Le carnet de vaccination est obligatoire (se référer à la partie dédiée dans ce site).
- Les chiens sortent soit seuls soit en petits groupes si ils sont sociables et selon la volonté écrite dans le contrat par le propriétaire. Le Canis Club est seul juge de la sociabilité du pensionnaire après une phase de test.
- Nos aires de jeux sont vastes et sacrément clôturées. Hautes, très solides, pas de creusement possible.
- Nous refusons de promener nos pensionnaires sur la voie publique (c’est arrivé une seule fois, dans le cadre d’une rééducation à la marche dans un chemin droit sur un kilomètre interdit à la circulation)
- Si votre chien doit être vu par un vétérinaire nous recourons au vôtre (sauf exceptions décrites dans ce site).
- Nous pratiquons les éventuelles injections voulues par le vétérinaire de nos clients, notamment celles d’insuline (chiens diabétiques).
- Nous acceptons la plupart des chiens blessés ou en traitement (même dermato si non contagieux, bien évidemment).
- Nous invitons avec insistance nos clients à traiter leur chien contre les parasites externes et internes avant son entrée en pension. Ce point étant impossible à vérifier, le Canis Club rejette avec force toute responsabilité à ce sujet (qui donc irait reprocher à un prof d’Univ la présence de morpions chez ses élèves ?).
- Si nous repérons une parasitose quelconque, nous la signalons à tous nos clients car ils ont besoin de cette information.
- Nous déconseillons fortement l’usage - en pension - d’un collier antiparasites car il se relâche volontiers et ne fait plus l’effet recherché. Nous ne le déconseillons pas pour la vie de tous les jours, chez vous. En pension, les produits à poser sur la peau ou à manger sont plus indiqués.
- Nous proposons une ou deux journées d’essai gratuites (ce n’est nullement imposé).
- Les chiens dorment dans un bâtiment carrelé, spécialement dédié à l’hébergement canin et aux normes gouvernementales.
- Le Canis Club est très réticent à l’usage de psychotropes pour un chien.
Nous n’acceptons qu’après vérification auprès du vétérinaire traitant qui les a prescrits et lui demandons le motif. Nous nous réservons le droit de suspendre ou d’alléger certains traitements par psychotropes lorsque le chien s’en trouve groggy, hagard ou présente des pertes d’équilibre.
Informés des risques du sevrage brutal, nous prenons les mesures les plus appropriées.
Par expérience, et seulement pour certaines races telles que les Lévriers, Pinschers, la vaste famille des Braques, les Dobermans, nous refusons de délivrer un neuroleptique à base d’acépromazine et demandons un traitement de substitution.
Le Canis Club est en désaccord avec tout acte de sédation qui ne soit pas indispensable.
Il est évident que les psychotropes prescrits en raison d’une situation cérébrale particulière (crises épileptiformes sévères), ou dans certaines circonstances post-opératoires où le comportement du chien est tel qu’il faut le « calmer » et sécuriser sérieusement la zone ou l’acte opératoire a eu lieu, seront TOUJOURS, absolument TOUJOURS, donnés avec une précision horaire parfaite et un respect total de la posologie. Ces chiens-là, deux ou trois par an, sont d’ailleurs tout simplement gardés dans notre salon car tout est alors trop délicat.
- Le client ne doit pas présenter d’assurance familiale, il est assuré par nous avec toutes les références sur le contrat.
Dessin de François Walthéry, à Renny et Michèle (propriétaires du Canis Club)
Pension pour chien ou refuge ? Une pension canine ne doit pas être confondue avec un refuge, mot qui désigne plutôt un lieu de secours qui recueille les animaux abandonnés (ce qui ne nous empêche de travailler la main dans la main avec les refuges que nous aidons parfois, bien sûr à titre gratuit).
Canis désigne, en latin, les canidés dont nos chiens de famille composent un des groupes.
Votre toutou est donc un représentant des Canis familiaris qui peuplent largement notre planète, voilà pourquoi vous êtes sur le site de la pension pour chien « LE CANIS CLUB ».
Nous avons ouvert notre pension bien avant la naissance du concept d’agrément (cette loi ne date que de 1999) et, après quelques années d’hébergement canin en activité dite « complémentaire », nous avons quitté nos emplois stables (manager en transport routier et aérien pour l’un, secrétaire juridique pour l’autre) en mars 1992 pour nous lancer dans l’aventure que vivent les indépendants à temps plein.
Pour faire court, écrivons simplement que nous avons largement plus de trente ans d’expérience à votre service.
Et, dans ce métier presque intransmissible, l’expérience compte énormément.
Ainsi avons-nous hébergé des femelles prêtes à mettre au monde ou qui venaient à peine de le faire (les maîtres qui vivent seuls ne choisissent pas le jour où il leur arrive quelque chose et qu’il faut les hospitaliser d’urgence, ou qu’une inondation - ou un incendie - ravage leur demeure), des femelles accompagnées de chiots de quelques semaines ou encore des chiens si vieux qu’il leur fallait un deuxième carnet de vaccination agrafé au premier entièrement rempli.
Nos records ? Un caniche entré dans sa dix-neuvième année, une croisée labrador de dix-huit ans certifiés par le tatouage encore parfaitement lisible (c’est rare), plusieurs chiens de petite taille de quinze ans et plus, certifiés par la puce électronique généralisée depuis longtemps, des chiens totalement aveugles, par deux fois des chiens amputés d’une patte avant (qui couraient comme les autres).
L’expérience compte aussi beaucoup en matière de soins (chiens diabétiques nécessitant des injections d’insuline, pensionnaires épileptiques, soins divers sur des toutous qui nous arrivent après
une intervention chirurgicale et dont il faut surveiller la bonne évolution de leurs plaies (et surtout qu’ils n’y touchent pas), ceux qui trouvent le moyen de se faire bobo chez eux, la veille ou le jour même du départ en avion de toute la famille.
Ainsi gardons-nous des chiens bébés, des toutous d’âge moyen et des ancêtres du quatrième âge.
Quant à la taille; du mini-mini qui, adulte, tient dans une main, au géant qui, se mettant debout sur les pattes arrière, repose sa tête sur l'épaule d’un homme de 1m80.
On se dit que l’humain a peut-être exagéré dans ses sélections car ces extrêmes ne sont pas sans conséquence pour la santé de certains chiens hypertypes...